Il y a quelques jours nous accordions une interview à la mutuelle GSMC sur la mise en place de leur infrastructure informatique réalisée par les équipes de Sedona.
Aujourd’hui nous avons décidé de faire un zoom sur cette équipe Infra made in Sedona afin de partir à la découverte de leur métier. Nous avons donné la parole à Michaël Godard, Responsable infrastructure et Jugurtha Saidi, Administrateur systèmes & réseaux.
Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Michaël 23 ans chez Sedona (et oui certains Sedoniens portaient encore des couches quand j’ai commencé !). Je suis arrivé chez Sedona à la base pour une pré-embauche chez un client mais le destin en a décidé autrement.
Jugurtha, je suis chez Sedona depuis bientôt 9 ans. On me connaît principalement comme le « monsieur support informatique » de Sedona. Je suis donc en relation avec pas mal de monde et je connais presque tous les collaborateurs.
En quoi consiste votre métier chez Sedona ?
Je suis Responsable de la cellule Infra qui est en charge:
- de l’équipement de nos collaborateurs mais aussi de leur apporter tous les services nécessaires au bon déroulement de leurs missions (serveurs, outils, matériels spécifiques)
- répondre au besoin de nos clients autour de leur équipement informatique et logiciel
- missions de conseils sur les systèmes d’information.
Je suis dans le service infra avec Michaël mon manager. Je suis en charge pour Sedona et pour des clients externes:
- Du support informatique
- De l’administration de la partie serveurs/réseaux/Office365/postes
- Des missions de conseils et projets sur les systèmes d’informations
Quels sont les enjeux et les difficultés de votre métier ?
Comme pour les développeurs, les technologies systèmes sont en constante évolution, nous devons nous adapter et nous former en permanence. Les technologies autour du cloud ont connu une très forte poussée notamment suite au contexte sanitaire.
Il faut se former et faire de la veille pour ne pas décrocher au niveau des nouvelles technologies. Il faut également faire de l’administration systèmes tout en assurant le support en parallèle.
Quels sont les aprioris selon vous qu’il y a sur votre métier ?
Le métier est souvent perçu comme un métier de « tech » mais l’évolution des technologies notamment autour du DevOps nous a poussé à nous adapter et à consacrer de plus en plus de temps à développer.
Le côté tech est important mais il n’y a pas que ça, il y a aussi la partie relation (côté humain) avec les autres sedoniens et les clients, tout particulièrement côté support.
Qu’aimez-vous le plus dans votre métier ?
Ce que j’apprécie le plus c’est la pluralité: nous touchons a beaucoup de technologie et les missions sont toujours sources de nouveautés et de nouveaux défis.
Le fait d’être en contact avec beaucoup de gens, le côté humain. Il y a également les nouvelles technologies et le fait de devoir s’adapter constamment.
Qu’est-ce qui vous plait dans le fait de travailler chez Sedona ?
Ce qui me plait chez Sedona c’est:
- L’autonomie: une direction qui me fait confiance dans mes choix et de toujours pouvoir proposer de nouveaux services au bénéfice des collaborateurs.
- Le partage et l’entraide: des équipes soudées sur qui l’on peut toujours compter dans les moments difficiles
Ce qui me plait principalement dans le fait de travailler chez Sedona c’est la bonne entente qui règne dans l’entreprise ainsi que l’entraide entre les sedoniens.
Quel est le projet qui vous a le plus marqué durant toutes ces années ?
Le projet GSMC qui nous demandait de créer leur infrastructure de A à Z a été une mission très enrichissante car il a fallu maîtriser tous les aspects techniques et organisationnels: du PC du collaborateurs en passant par son smartphone, l’équipement réseau des différents locaux, la création de leur SI sous Azure et la mise en place de tous leurs outils bureautiques sous Office365 en les aidant à la conduite du changement sur les outils collaboratifs
Le projet qui m’a marqué ce serait GSMC, pour l’aspect humain, ça m’a permis de rencontrer les collaborateurs de GMSC qui ont été accueillants lors de mes déplacements sur les différents sites dans le nord de la France mais également pour l’aspect technique avec une montée en compétence sur Office365/Intune.
Quelles sont les technologies que vous préférez utiliser au quotidien ?
Kubernetes, Ansible et VMware sont mes compagnons de galère !
Principalement les technologies tournant autour d’Office365 sur lesquelles je travaille beaucoup. C’est vaste et il y a beaucoup de possibilités, cela évolue également rapidement. Il faut suivre. Mais également les technologies de VMware.
Pourquoi selon vous l’infrastructure est-elle essentielle pour une entreprise ?
L’infra est la colonne vertébrale d’une société. Aujourd’hui l’outil informatique est une brique indispensable pour la productivité d’une entreprise.
Je pense que c’est un élément assez central dans une société.
Que diriez-vous à quelqu’un qui voudrait travailler dans l’infrastructure ?
Que les sujets sont nombreux et qu’il y a forcément une technologie qui vous plaira. Que vous aimiez le contact humain ou que vous préfériez le contact avec le clavier, que vous aimiez plutôt les terminaux (PC, smartphone, téléphonie) ou plutôt les serveurs(réseau, serveur, cloud), il y a de la place pour tout le monde.
C’est vaste, il y a plein de technologies intéressantes, plein de devices différents. On ne s’ennuie pas. Et il y a le côté humain et relationnel aussi pas uniquement de la techno pure.
Et sinon, question plus personnelle, quels sont vos autres talents cachés ?
Mon jardin ! Mon potager bio est ma bouffée d’oxygène. Cela paraît loin de la technologie mais le contact avec la nature permet de nous rappeler d’où l’on vient, j’ai cette chance d’avoir un bout de terrain. De savoir que l’on est capable de créer sa propre nourriture est une sensation d’accomplissement extraordinaire.
Je suis un adepte du running. Cela me fait énormément de bien. Cela me donne un sentiment de liberté et j’apprécie le côté balade et exploration. Je participe à certaines courses officielles (10Km ou semi-marathon) ce qui me motive d’autant plus.